Some Clouds
A YEAR
CXVIII
A hat in a joint like that:
tic awkward, smacks of vie entirely extérieur.
‘Hips architecturally protuberant in sharp diagonal’
is the unlikely maraschino to the thing—
Oh I ‘repeyreth home fro worldly vanitee.’
That is to say: I think if
I need to snout-mount a leaf
blower, or Boy Scout-rig a toaster
with wire to a long pole, out
in front of my tank to trigger
IEDs, I probably ain’t welcome in Baghdad
‘et ses environs’ crude oil-garland’d, Toto.
Here magnolias that exploded prematurely in a
weekend hot spell look lop-ear’d and
ruin’d. A single blood-smudge of rose-
bud undoes itself in a cloud. One
dud miasma is enough. ‘Suffise unto thy
thing,’ I say, and ‘hoord hath hate.’
A hat that comes down out of
the sky clobbers me like a house.
—
Exhibit pointing to the various stress-fractures likely to result in forcing a piece.
—
I uncover’d a copy of the 1962 Mercure de France volume titled Pierre Reverdy (1889-1960), the one with the Ashbery essay, “Reverdy en Amérique”—looking for other O’Hara / “Reverdian” poems (“Do you think Naphtha is sort of Reverdian?” O’Hara’d ask’d), or any other American Reverdy’s. Rien du tout. Except for the Bill Berkson / O’Hara collaboration I’d rather forgot about—it’s print’d in the terrific Hymns of St. Bridget & Other Writings (Owl Press, 2001)—call’d “Reverdy” put into French by Ashbery:
Reverdy n’est pas comme Chopin. Il est une longue rue dans une ville avec de petites maisons musicales qui la bordent.Translated (one assumes by Ashbery, though the Mercure de France volume reads, simply: “Traduit de l’Américan”) out of what is mark’d “Written for the French of John Ashbery, Paris, 1961.”
Il y a en français le mot « rédacteur » dont je ne peux pas arriver à connaître la signification.
Voici deux tasses, un Keats, un peigne et une brosse, quatre paquets de cigarettes, un cendrier marqué « Chance », deux boîtes d’allumettes, une corde, Always Love a Stranger, une brosse en fil de fer et un morceau de bois sculpté que je ne peux comprendre. C’est ici que Reverdy habite encore, inexplicablement comme toujours.
Ce qui frappe l’œil fait mal, ce qu’on entend est mensonge. Ce qui s’écrit lutter pour émerger puis émerge, tout blanc. La neige brille à cause du soleil. Jamais de lettres, toujours des messages.
Maintenant nous commençons à avoir des idées comme les Français. Yipee!
Nous décovrîmes il y a bien des années qu’en français vous pouvez vraiment dire n’importe quoi . . . sauf certaines choses qu’ont dit Eliot, Valéry, Claudel, Béranger et d’autres. Yipee!
Reverdy n’est pas cubiste. Qui l’a jamais l’été. Cent Américains par jour sont accusés d’être cubistes. « L’endroit pubique de l’homme n’est pas une chose belle. » « L’endroit public de la femme n’est pas une chose belle. » (Ce sont deux maximes américaines qui prouvent l’absence de Reverdy.)
Picasso est feu, Reverdy est silex. En Amérique on se sert du silex pour faire des têtes de flêches aussi bien que pour les boîtes d’amadou. Est-ce que vous aimez chasser ce que vous mangez? Etes-vous cannibale? Y a-t-il un ordre en dehors de la folie ou seulement un maëlstrom d’erreurs et de velléités?
« Je suis las de vivre au pays natal. » Quand vous arriverez au maëlstrom, faites-le moi savoir. Si vous devez enlever la cendre de votre cigarette, vous êtes né pour n’import quelle œuvre d’art moderne, Nous ne savons pas quels fils nous lient plus que l’air que nous respirons. Ça nous est égal qui habite à côté; nous savons ce qu’ils pensent de nous. On boit plus qu’on ne croit. Il n’y a aucun sens à rentrer « tot ». Nous sommes déjà dans le maëlstrom et c’est pour cela que nous ne le « savons » pas.
En Amérique il n’y a qu’un seul autre poète à part Reverdy: William Carlos Williams.
Ils sont seuls tous le deux. Que pensez-vous de titres comme « Il sont seuls tous les deux », « Leve-toi et meurs », « Tu meurs les yeux ouverts, n’est-ce pas? », « Chair vive », « Poème ».
Nous sommes dans le maëlstrom à cause de Reverdy.
Nous devons tous faire semblant d’aller bien ou on nous achèvera avec des balles, comme les chevaux.
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Inchoate. Drubbed by rain today and tardy. My “self-immersed indifference to the contingencies of the contingent world,” my “only felicity and achieved so seldom” (Murphy) mean (among other things) leaving home without a necessary book. The usually unflappable gone dégingandé, bereft, and insufficient. (As O’Hara says: “as they say in the Café Flore, it's better to tas gueule.”) Murphy, again: “If his mind had been on the correct cash-register lines, an indefatigable apparatus for doing sums with the petty cash of current facts, then no doubt the suppression of these would have seemed a deprivation. But since it was not, since what he called his mind functioned not as an instrument but as a place, from whose unique delights precisely those current facts withheld him, was it not most natural that he would welcome their suppression, as of gyves?” Gyves? Fetters, shackles, chains. The notorious gyves of the factual. The brainbox drubbed by the shackles of factoidal remonstrance. Bah.